Votre chemin jusqu’au shiatsu

Les « nœuds» – tensions, contractions, dysfonctionnements, conflits- sont le point d’où l’on part, les raisons pour lesquelles on entame une thérapie. Selon la vision orientale, ces « nœuds » sont comme des papiers de soie chiffonnés, froissés, dans lesquels un message est écrit : loin de chercher à les éliminer, l’on cherchera à les déplier, les déployer pour que le message, l’information inscrite à l’intérieur, puisse se révéler. Cela signifie qu’en réalité il n’y a rien en soi à faire disparaître, mais à faire passer d’un état à un autre dans un processus de transformation. 

Ce renversement et cette transformation sont au fondement de la thérapie shiatsu. 

La philosophie orientale au service de votre thérapie

Selon cette philosophie, l’invisible -le « Ki » en japonais, la vitalité, l’énergie- sous-tend tout phénomène physique et psychique ainsi que tout phénomène présent dans la nature. C’est en passant du plan visible – symptômes, apparences, motifs de la consultation- au plan invisible en « touchant le Ki »- que l’on ouvre la voie de la transformation. 

L’invisible derrière les phénomènes visibles est, pour la philosophie bouddhiste, un vaste espace, c’est espace de notre nature fondamentale qui accueille, sans rien rejeter, la globalité de la personne et permet les transformations.

Ma pratique du shiatsu est inspirée de la philosophie du vaste espace accueillant.  Celui-ci définit le cadre de l’espace thérapeutique : tenir l’espace pour le client c’est à la fois offrir un cadre sécure pour qu’il/elle explore son paysage intérieur, lui permettre d’explorer de nouveaux territoires tout en l’invitant à mettre en mouvement ses forces et sa créativité.

Un cadre poétique pour l’espace thérapeutique

Les gravures japonaises choisies pour illustrer ce site représentent pour moi la poésie de la Nature – notre Nature ? – sublime et sublimée, offrant un autre langage pour le cœur et l’âme, lieux de toutes les transformations. C’est l’espace dans lequel vous êtes invité(e) à vous déployer, l’endroit où les mots cèdent la place à la poésie. 

Peintures japonaises © Hajime Namiki

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